D'après Cyrano de Bergerac

La Mort d’Agrippine, d’un auteur dont tout le monde connaît le nom, et l’œuvre presque personne (il s’agit de Cyrano de Bergerac, le vrai), n’a pas pour personnage principal Agrippine (qui d’ailleurs n’y meurt pas), mais… la croyance du spectateur. C’est croire qui s’y trouve mis à mort. Et seul alors reste le vertige de vivre ; la sauvagerie d’être. Sous un mince vernis d’antiquité, par l’humour qui toujours sous-tend tout grand théâtre : l’inconscient et ses mystères. Une poésie jaillissante, amnésique, maléfique.

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DP_AGRIPPINE_Dejazet_2019